À l'automne, la VMVT devra faire face à des conversations inconfortables au Seimas. Les parlementaires perplexes face aux informations cachées sur les aliments dangereux
La VMVT publie les informations sur son site web sur son site web.
„Tout d'abord, la population devrait être informée de manière ciblée, par exemple par le biais de certains systèmes, dans une certaine région, car l'endroit le plus probable pour les produits contaminés n'est pas un seul point de vente, mais plusieurs&ldquo ;,&ndash ; continue de discuter de la question, ajoutant que l'information de la population et des consommateurs sur les produits contaminés par des bactéries dangereuses est très importante.
Les grandes entreprises et les négociants se contentent souvent de présenter leurs excuses pour les produits contaminés qui arrivent sur le marché et affirment qu'ils s'efforceront de garantir la qualité à l'avenir.
Les sanctions devraient être appliquées selon un algorithme basé sur le nombre de fois qu'une infraction est détectée et sur l'ampleur de l'infraction, indépendamment du fait que l'entreprise soit petite ou grande. Logiquement, les grandes entreprises devraient mettre de plus grandes quantités sur le marché. L'algorithme devrait donc évaluer la fréquence des infractions", explique Kazys Starkevičius, membre du Seimas. Seimas.
K. Mažeika, président de la commission des affaires rurales, lui fait écho : „Bien sûr, les sanctions devraient être plus strictes et ne devraient pas prendre en compte le type d'entreprise. Nous vivons dans une démocratie et la loi s'applique à tous.
K. Mažeika affirme que le gouvernement et le ministère de l'Agriculture (MAA) devraient veiller à ce que le MoEW impose objectivement des sanctions aux entreprises qui commettent des violations.
La loi sur la protection de l'environnement est une loi qui s'applique à tous.
La République de Lituanie a adopté les dispositions suivantes
Mais quoi qu'il en soit, le député Starkevičius a promis de soulever les questions liées à l'IAFP et à la sécurité alimentaire lors de la session d'automne du Seimas, au sein de la commission des affaires rurales. La Commission des affaires rurales de l'Union européenne est en train de se pencher sur la question.